Très belles images, mon cher François,
Merci pour cette tranche d'histoire.
A l'époque déjà, monter un pylône de 40 mètres n'était pas problématique.
Les liaisons en ondes courtes, et en morse, avec la France et les appareils étaient indispensables.
Il semblerait que comme il n'y avait pas de réfrigérateur (pas encore inventé) sur cap Juby, les pilotes avait trouvé une solution de rechange.
Ils enveloppaient une bouteille dans un linge humide et la fixaient sur le fuselage d'un appareil qui montait en altitude.
Après un retour rapide au terrain, elle était givrée et prête à être consommée.
Pour voler sur ces lignes, il fallait vraiment être suicidaire.
L'époque héroïque de l'aviation Française...